La consultation de chiropraxie avec Anne-Sophie Benoist

Problème de dos, mal aux genoux, douleurs cervicales, névralgies cervico-brachiales, torticolis ?

Le chiropracteur suit toujours une méthode en 4 étapes complémentaires entre elles : Détecter, Corriger, Stabiliser et Prévenir.

Le chiropracteur débute par un entretien permettant de découvrir son patient : ses antécédents familiaux, ses antécédents personnels, son mode de vie ou encore sa pathologie, réelle ou ressentie.
Il s'intéresse aussi à ses conditions de vie et de travail, qui peuvent impliquer certains dérèglements.

Le chiropracteur procède ensuite à un examen chiropratique : colonne vertébrale, palpation statique et dynamique, recherche des tensions musculaires, examen neurologique.

Grâce à cet examen complet, le thérapeute définit son plan de traitement et le nombre de consultations qu’il juge nécessaire à l’amélioration de la condition du patient.

• Repos (baisse des activités physiques) pendant 24h.
• Hydratation augmentée 
• Ecoute des réactions du corps, communication et échange avec votre chiropracteur, si besoin.

Le temps du soulagement sert à dissiper rapidement le message de douleur du corps.

La fréquence des consultations est supérieure pendant cette phase, et varie en fonction de la nature des troubles fonctionnels du patient. Durant cette phase, les consultations ne doivent pas intervenir à moins de 3 jours d'intervalle mais pourront être rapidement espacées au gré de l'évolution des troubles initiaux.

Le temps de stabilisation est destiné à stabiliser la correction entreprise sur le long terme tout en améliorant la condition du patient. Cette étape ne doit pas être évitée pour éviter la réapparition des symptômes (de la même manière, qu'elle l'est dans un régime pour éviter la reprise de poids).
La fréquence de vos ajustements est réduite (en moyenne tous les 3 ou 4 mois).

Cette phase est un suivi ponctuel afin d'entretenir les acquis et apprendre le mode de vie chiropratique.

Le praticien en chiropraxie est formé pour enseigner au patient les bonnes pratiques : des bonnes postures ou de l'hygiène de vie.

En tant que patient, l'un  de vos droits essentiels, tels que définis par la loi n°2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, est de pouvoir refuser ou accepter un soin. Or accepter, c’est consentir. Le consentement éclairé est défini par l’article L1111-4 du code de la santé publique qui s'applique à l'ensemble des professionnels du champ de la santé. 

En tant que thérapeute, l'un de nos devoirs est de vous donner une information loyale, claire et appropriée (...) (art 35 du code de la santé publique). 

Ce consentement doit être explicite lorsqu’un acte technique est envisagé. En tant que patient, il vous est donc demandé de mettre par écrit que vous consentez à recevoir le soin qui vous est proposé. Mais pour que votre consentement soit éclairé,  il doit être donné en toute connaissance de cause. Conformément à la loi, votre chiropracteur vous informe donc non seulement des bénéfices attendus, mais aussi des risques encourus : c’est la fameuse balance bénéfice/risque. Il répond, en amont de la dispensation des soins, à toutes les questions que vous êtes susceptible de vous poser. 

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Règlement en chèque et espèces.